À la rencontre de Geneviève Masson – Partie 2 : Quand l’implication mène au succès.
Dans notre tout premier article sur l’étonnant parcours de Geneviève Masson, nous avons découvert que la Directrice ingénierie de systèmes chez Merkur ne craint pas les défis. Dans cette dernière partie, nous avons questionné Geneviève sur son parcours chez Merkur ainsi que sa vision en tant que gestionnaire.
Nous avons appris que tu as évolué dans le monde de la recherche universitaire, pourquoi as-tu décidé d’aller sur le marché du travail ?
La stabilité au niveau des mandats était devenue importante pour moi, en entreprise et surtout chez Merkur, nous sommes amenés à travailler sur une foule de mandats différents et intéressants. Tandis que le monde universitaire est plus dépendant des aléas des subventions. Ce qui m’a le plus frappé comme différence est l’efficacité de mes pairs chez Merkur. J’ai été habitué à participer à des rencontres où l’on tergiversait dans plusieurs sujets différents, mais chez Merkur nous avons des méthodes éprouvées pour être efficaces dans tout. La lourdeur de la bureaucratie de l’université ne m’a vraiment pas manqué. Chez Merkur on est en plein dans l’action et on s’offre les méthodes pour exceller, en plus d’avoir une mentalité très axée sur la collaboration et moi ça me parle !
Quelle fût ta progression au sein de Merkur?
J’ai débuté en tant que Chargée de projet en bureau de projets ou en en mandats chez les clients, mais je faisais aussi déjà du support aux opérations. Ça a toujours été important pour moi de garder un lien étroit avec Merkur parce que je voyais dès lors le potentiel de grandement me développer au sein de l’entreprise. D’ailleurs, quand j’ai eu mon deuxième enfant, j’ai continué à travailler environ 7 heures semaines durant mon congé parental. Mon garçon était plus facile et j’avais réellement la piqure pour Merkur et souhaitait m’engager et me démarquer. J’adore le travail, j’aime avoir un impact, faire de l’optimisation et trouver des solutions.
Que s’est-il passé suite à ton retour de congé de maternité?
Peu après, j’ai été promue au poste de Coordonnatrice d’équipe, donc j’étais plus étroitement impliquée auprès des opérations. Je coordonnais nos employés versus les mandats clients tout en faisant encore un peu de projets mais c’était surtout la gestion qui m’occupait. Puis, j’ai été nommée Directrice du département de développement de produits. Nous avons restructuré les responsabilités de chacun puisque l’entreprise grandissait vite. Mon collègue a repris la portion des opérations tandis que moi j’étais dédiée à la gestion des employés. Depuis 2021, je suis Directrice d’unité d’affaires en Ingénierie et développement de produits, donc je chapeaute les opérations, les fonctions et processus internes, les formations, la stratégie et le développement des affaires. J’ai aussi un rôle global au sein de l’entreprise parce que je suis en charge de certains projets structurants, dont les programmes. Je m’assure que les unités d’affaire innovent constamment et offrent de nouveaux services.
Est-ce que le côté ressources humaines est un volet qui t’intéresse ?
Absolument ! Le côté humain est très intéressant pour moi, j’aime m’assurer que nos gens sont heureux, qu’ils se sentent accomplis et performant bien. Donc toute la portion de valider les compétences et connaissances de nos employés en fonctions de leurs aspirations professionnelles et leur contexte personnel, dans une optique de leur trouver les bons mandats pour eux, est une portion très stimulante de mon rôle. J’adore aussi le volet de formation, de partage des connaissances ainsi que le volet de développement professionnel de mes pairs. Je suis toujours en mode optimisation, que ce soit au niveau d’un projet ou au niveau humain ! Mon rôle a évolué d’une façon où je peux mettre mon savoir à contribution pour permettre à nos employés de s’épanouir tout en apprenant beaucoup d’eux à mon tour et c’est définitivement une optique qui me plaît beaucoup.
Quel genre de gestionnaire es-tu?
Je réalise que la gestion est grandement basée sur le ressenti. Je n’ai pas la science infuse mais j’ai un esprit de coach en moi qui ressort souvent et avec le temps j’ai appris à faire confiance à ma petite voix intérieure. La gestion s’apprend principalement en l’expérimentant. Les choix que je fais et les analyses de situations sont toujours basés sur ce que je crois être pour le mieux, mais il n’y a malheureusement jamais d’exactitude dans ce type de responsabilité. J’écoute beaucoup mon instinct et je m’assure de continuellement évoluer en me formant. Je considère que je suis très empathique mais j’aime aussi beaucoup analyser les choses et prendre du recul pour prendre des décisions avec lesquelles je suis à l’aise. Mais au cœur de tout ce que je fais, je veux être entourée de gens heureux, qui sont à leur place et qui s’accomplissent dans leur vie professionnelle.
Selon-toi, qu’est-ce qui explique ta belle progression au sein de Merkur ?
J’ai toujours vécu avec un syndrome de l’imposteur alors c’est difficile pour moi de te le dire. Mais je peux te partager avec certitude que j’ai toujours été une Merkurienne engagée, mobilisée et toujours prête à contribuer à ma façon. La raison d’être de Merkur est d’aider des entreprises à mieux performer et je suis vraiment sur mon « x » ici, alors c’est ce qui explique mon niveau d’investissement dans ma carrière. J’aime beaucoup les valeurs de collaboration et d’ouverture de l’entreprise et la mentalité interne de « ça te tente d’embarquer, bien viens-t ’en ! » m’a toujours fait vibrer et c’est réellement ce que j’ai fait; j’ai tracé mon chemin en performant bien mais aussi en étant impliquée. L’entreprise grossit et les besoins sont grandissants, alors il y a encore une très grande place à l’initiative chez Merkur et les possibilités sont infinies.
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